Mardi 18 octobre 2022
- Festival
- • 7 BATIGNOLLES (Paris 17)
- • ARIEL CENTRE (Rueil)
- • CIN'HOCHE (Bagnolet)
- • CINÉMA RUTEBEUF (Clichy)
- • CITÉ DE L'ARCHITECTURE (Paris 16) - Entrée Libre
- • ENSA PARIS-BELLEVILLE (Paris 19) - Entrée Libre
- • ENSA PARIS-LA VILLETTE (Paris 19) - Entrée Libre
- • ENSA VERSAILLES (Versailles) - Entrée Libre
- • ESPACE MUNICIPAL JEAN VILAR (Arcueil)
- • LE TRIANON (Sceaux)
- • LEONARD:PARIS (Paris 12) - Entrée Libre
- • MAISON DE L’ARCHITECTURE (Paris 10) - Entrée Libre
- • PAVILLON DE L'ARSENAL (Paris 4) - Entrée Libre
- • UGC CYRANO (Versailles)
- Séoul dans le polar / Master classe de Vincent Malausa
- Le Ballon Rouge + atelier ciné-maquette
- Réalité Virtuelle
- Architecture et cinématisme / Conférence de Pierre-Louis Faloci
- Patriarcat, Cinémas, Territoires / Table ronde
- Master classe de Benoît Delépine / "La France Rurbaine vue par Delépine et Kervern"
- Métrocinémix / Par Jean-Yves Leloup
- Ciné-concert et lecture "Jean Vigo / La Poésie Au Cinéma"
- Hommage exceptionnel à Jean-Louis Comolli / "On ne va pas se quitter comme ça"
- Le Grand Paris des Écrivains
- Un tour de France des grands ensembles / Rencontre avec Renaud Epstein
- Imaginaires des aéroports au cinéma / Ciné-conférence de Léo Soesanto
- A Machine to live In
- Atlantic Bar
- Atlantide
- Aya
- Cabanyal année zéro
- Devenir architecte
- Douce France
- Grand Paris
- Hard Day
- Hyderabad
- L'Emmuré de Paris
- La Nave
- Le Grand Soir
- Le monde de demain / Épisodes 1 et 2 + DJ set de Dee Nasty
- Les Pires
- Let's Meet Yves Weinand
- Little Nemo
- Maputo Nakuzandza
- Mémoires audiovisuelles du Grand Paris
- Naissance d'un Hôpital
- Nos Soleils
- Nostalgia
- Parasite
- Porte de Clichy
- Retour à Séoul
- Riposte Féministe
- Soirée d'ouverture / Grand Paris
- Soirée de clôture / Nostalgia
- Soleil Vert
- Tara
- The Chaser
- The Host
18:30 | Aya – Simon COULIBALY GILLARD – 20:15 (Belgique) |
Paysages en mutation | 7 BATIGNOLLES (Paris 17) |
En présence du réalisateur Simon Coulibaly Gillard. Réservation possible. En présence de Simon Coulibaly-Gillard Lahou, Côte d’Ivoire. Aya grandit avec insouciance auprès de sa mère. Intimement liée à son île, la jeune fille voit ses repères s’effondrer lorsqu’elle apprend que son paradis est voué à disparaître sous les eaux. Alors que les vagues menacent sa maison, Aya prend une décision : Lahou est son île ; elle ne la quittera pas. Un chemin initiatique s’offre alors à elle, un chemin vers son identité, un chemin vers elle-même. Simon Coulibaly Gillard est un réalisateur français d’origine bulgare. Diplômé d’un master en réalisation cinématographique à Bruxelles (Insas), il cherche son chemin et son inspiration dans les territoires ruraux peu documentés. Il réalise une première série de documentaires primés dans différents festivals : Anima (2013), Yaar (2014) et Boli Bana (2017). Ces trois films, tout comme Aya (2021), sont filmés dans l’Ouest africain. |
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20:00 | Mémoires audiovisuelles du Grand Paris – IMAGINÉ ET CONÇU PAR JEAN-YVES DE LÉPINAY – EN PARTENARIAT AVEC L'INA, GAUMONT ARCHIVES ET MÉMOIRES FILMIQUES D'ÎLE-DE-FRANCE – 22:00 |
Imaginaires du Grand Paris Entrée Libre | ESPACE MUNICIPAL JEAN VILAR (Arcueil) |
Rencontre avec Dominique Falcoz et Jean-Yves de Lépinay. Imaginé et conçu par Jean-Yves de Lépinay avec le soutien de Mémoire filmique d’Ile de France, de l’INA, et de GParchives Ces dernières années nous voyons naître peu à peu, sous nos yeux, non pas une nouvelle ville, mais une nouvelle idée de cette ville. Paris, pourtant, est l’une des villes qui a déjà engendré les imaginaires parmi les plus riches du monde. Mais en devenant « Grand Paris », ce n’est pas seulement la ville qui se transforme : c’est une nouvelle identité qui se construit : c’est une nouvelle histoire qu’il faut se réapproprier, nourrie de l’histoire et de la vie des 7 millions d’habitants de 130 communes (outre Paris). L’identité et l’imaginaire, se construisent avec la mémoire. D’où l’importance de la faire renaître, grâce aux nombreuses images cinématographiques et audiovisuelles dont nous avons la chance de disposer depuis plus de 120 ans : films amateurs, actualités cinématographiques, films d’entreprise ou de communication publique… Le festival Close-Up propose d’entrouvrir cette fabuleuse malle aux trésors, en présentant une sélection d’images tournées tout au long du XXème siècle, soigneusement réunies, conservées, documentées par des professionnels des archives audiovisuelles. Le regard rétrospectif permis par ces documents souvent rares nous permettra de mettre en perspective les problématiques contemporaines de la ville.
RUEIL-MALMAISON / SCEAUX Séances commentées par Jean-Yves de Lépinay et Philippe Montillet, juriste et historien, ancien directeur du département Mémoire des territoires à l’Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Île-de-France (IAU-IdF). La question du logement au début du siècle, le lotissement des banlieues, la Zone, le développement de l’habitat social, les grands ensembles, le plan Delouvrier d’aménagement de la Région parisienne, le RER, Banlieue 89, et désormais la Métropole
ARCUEIL ET CACHAN Séance commentée par Jean-Yves de Lépinay et Dominique Falcoz, comédienne et directrice du TDN d’Arcueil. « Article premier – Le territoire de la commune d’Arcueil-Cachan (...) est divisé en deux communes, dont les chefs-lieux sont fixés respectivement à Arcueil et Cachan, et qui porteront respectivement le nom de ces deux localités » : cette loi du 26 décembre 1922 allait permettre le développement de deux communes restées proches, mais désormais autonomes. Dans quel contexte cette décision a-t-elle été prise ? Quelles sont les conditions de vies des habitants de ces villes dans ce premier tiers du XXe siècle ? De quelles tensions politiques témoigne-t-elle ? Photographies, extraits de films et de journaux d’actualités cinématographiques nous montreront aussi bien la Bièvre avant sa couverture, la vie quotidienne les conditions de logement des habitants, Erik Satie... |
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20:15 | Nostalgia – Mario MARTONE – 22:30 (Italie) |
Panorama Avant-Première | CIN'HOCHE (Bagnolet) |
En avant-première de sa sortie en salle le 23 novembre 2022 par ARP Sélection Après 40 ans d’absence, Felice retourne dans sa ville natale : Naples. Il redécouvre les lieux, les codes de la ville et un passé qui le ronge. “J’ai invité les acteurs et l’équipe à s’immerger dans ce quartier [la Rione Sanità, une enclave de Naples] comme s’il s’agissait d’un labyrinthe et à ne surtout pas craindre de s’y perdre. Caméra à l’épaule, nous en avons parcouru les rues comme s’il s’agissait d’un film documentaire.” (Mario Martone) Mario Martone, metteur en scène de théâtre et de cinéma, est né à Naples en 1959. Avec sa compagnie les théâtres Unis, il monte des pièces mais il peut aussi réaliser ses films. Son premier long-métrage Mort d’un mathématicien napolitain est Grand Prix du jury à Venise en 1992. L’Amour meurtri (1995) et Theatro di guerra (1998) sont présentés à Cannes. Il dirige le théâtre de Rome depuis 1999 où il a initié une action |
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20:15 | The Host – Bong JOON-HO – 22:14 (Corée du Sud) |
Séoul à bout de course | UGC CYRANO (Versailles) |
A Séoul, au bord du fleuve Han, les Park tiennent un petit snack qui permet à Hie-bong, le patriarche, de subvenir aux besoins de sa famille : Kang-du, son fils aîné lymphatique, Nam-joo, sa fille championne malheureuse de tir à l'arc, Nam-il, son fils cadet au chômage, et Hyun-seo, l'adorable fille de Kang-du. Leur quiétude est brusquement balayée le jour où un monstre aquatique, fruit de la pollution des eaux, surgit de la rivière et détruit tout sur son passage. Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste coréen, tourne son premier long-métrage, Barking Dog, en 2000. Suivent ensuite : Memories of Murder, qui connait un véritable succès commercial et critique international ; The Host, présenté à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs ; une participation au triptyque Tokyo ! en 2008 dans lequel il offre sa vision de la mégalopole japonaise aux côtés de cinéastes comme Leos Carax et Michel Gondry ; Mother, projeté à Cannes dans la sélection Un Certain regard ; Le Transperceneige, adaptation de la bande dessinée post apocalyptique. |
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20:30 | Soirée de clôture / Nostalgia – Mario MARTONE – 22:30 (Italie) |
Séances Spéciales Ouverture / Clôture Avant-Première | 7 BATIGNOLLES (Paris 17) |
Rencontre avec Maria Salerno. Réservation possible. En avant-première de sa sortie en salle le 23 novembre 2022 par ARP Sélection et en présence de l'architecte Maria Salerno Après 40 ans d’absence, Felice retourne dans sa ville natale : Naples. Il redécouvre les lieux, les codes de la ville et un passé qui le ronge. "Ce qui est raconté dans ce film est né d’un fait divers mais je voulais aller plus loin, vers un sentiment mystérieux, à chercher durant le tournage. J’étais fasciné par l’idée de faire un film qui ne se passe pas dans une ville mais dans un quartier, comme s’il s’agissait d’un jeu d’échecs. C’est pourquoi les rues, les maisons ou les personnes qui apparaissent dans le film sont toutes du Rione Sanità, une enclave de Naples située loin de la mer. Ce quartier a tout englouti : les années si lointaines dont parle le film, le Moyen-Orient où le personnage principal était parti, les rêves, les défis et les fautes. J’ai invité les acteurs et l’équipe à s’immerger dans ce quartier comme s’il s’agissait d’un labyrinthe et à ne surtout pas craindre de s’y perdre. Caméra à l’épaule, nous en avons parcouru les rues comme s’il s’agissait d’un film documentaire. Rencontre après rencontre, vie après vie, histoire après histoire, nous avons fini par tourner la dernière scène en nous demandant quel en serait le sens, et nous ne l’avons plus trouvé. Peut-être n’y en avait-il pas, peut-être n’y en a-t-il pas. Il y a le labyrinthe et il y a la nostalgie, qui sont le destin de beaucoup de gens, et peut-être celui de tout le monde." (Mario Martone) Mario Martone, metteur en scène de théâtre et de cinéma, est né à Naples en 1959. Avec sa compagnie les théâtres Unis, il monte des pièces mais il peut aussi réaliser ses films. Son premier long-métrage Mort d’un mathématicien napolitain est Grand Prix du jury à Venise en 1992. L’Amour meurtri (95) et Theatro di guerra (98) sont présentés à Cannes. Il dirige le théâtre de Rome depuis 1999 où il a initié une action de changement radical de la programmation multipliant les lieux et les spectacles et s’ouvrant au nouveau théâtre. |
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20:30 | Aya – Simon COULIBALY GILLARD – 22:00 (Belgique) |
Paysages en mutation | LE TRIANON (Sceaux) |
Rencontre avec Simon Coulibaly Gillard. En présence de Simon Coulibaly-Gillard Lahou, Côte d’Ivoire. Aya grandit avec insouciance auprès de sa mère. Intimement liée à son île, la jeune fille voit ses repères s’effondrer lorsqu’elle apprend que son paradis est voué à disparaître sous les eaux. Alors que les vagues menacent sa maison, Aya prend une décision : Lahou est son île ; elle ne la quittera pas. Un chemin initiatique s’offre alors à elle, un chemin vers son identité, un chemin vers elle-même. Simon Coulibaly Gillard est un réalisateur français d’origine bulgare. Diplômé d’un master en réalisation cinématographique à Bruxelles (Insas), il cherche son chemin et son inspiration dans les territoires ruraux peu documentés. Il réalise une première série de documentaires primés dans différents festivals : Anima (2013), Yaar (2014) et Boli Bana (2017). Ces trois films, tout comme Aya (2021), sont filmés dans l’Ouest africain. |
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20:30 | Nostalgia – Mario MARTONE – 22:30 (Italie) |
Panorama Avant-Première | 7 BATIGNOLLES (Paris 17) |
Soirée de clôture / Rencontre avec Maria Salerno. Réservation possible. En avant-première de sa sortie en salle le 23 novembre 2022 par ARP Sélection Après 40 ans d’absence, Felice retourne dans sa ville natale : Naples. Il redécouvre les lieux, les codes de la ville et un passé qui le ronge. “J’ai invité les acteurs et l’équipe à s’immerger dans ce quartier [la Rione Sanità, une enclave de Naples] comme s’il s’agissait d’un labyrinthe et à ne surtout pas craindre de s’y perdre. Caméra à l’épaule, nous en avons parcouru les rues comme s’il s’agissait d’un film documentaire.” (Mario Martone) Mario Martone, metteur en scène de théâtre et de cinéma, est né à Naples en 1959. Avec sa compagnie les théâtres Unis, il monte des pièces mais il peut aussi réaliser ses films. Son premier long-métrage Mort d’un mathématicien napolitain est Grand Prix du jury à Venise en 1992. L’Amour meurtri (1995) et Theatro di guerra (1998) sont présentés à Cannes. Il dirige le théâtre de Rome depuis 1999 où il a initié une action |
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