Séoul à bout de course

Présenté par Frédéric Monvoisin, enseignant chercheur. Réservation possible.

A Séoul, au bord du fleuve Han, les Park tiennent un petit snack qui permet à Hie-bong, le patriarche, de subvenir aux besoins de sa famille : Kang-du, son fils aîné lymphatique, Nam-joo, sa fille championne malheureuse de tir à l'arc, Nam-il, son fils cadet au chômage, et Hyun-seo, l'adorable fille de Kang-du. Leur quiétude est brusquement balayée le jour où un monstre aquatique, fruit de la pollution des eaux, surgit de la rivière et détruit tout sur son passage.

Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste coréen, tourne son premier long-métrage, Barking Dog, en 2000. Suivent ensuite : Memories of Murder, qui connait un véritable succès commercial et critique international ; The Host, présenté à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs ; une participation au triptyque Tokyo ! en 2008 dans lequel il offre sa vision de la mégalopole japonaise aux côtés de cinéastes comme Leos Carax et Michel Gondry ; Mother, projeté à Cannes dans la sélection Un Certain regard ; Le Transperceneige, adaptation de la bande dessinée post apocalyptique.

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Présenté par Andreas Kofler.

Séance présentée par Andreas Kofler, architecte-urbaniste

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne…

Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste coréen, tourne son premier long-métrage, Barking Dog, en 2000. Suivent ensuite : Memories of Murder, qui connait un véritable succès commercial et critique international ; The Host, présenté à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs ; une participation au triptyque Tokyo ! en 2008 dans lequel il offre sa vision de la mégalopole japonaise aux côtés de cinéastes comme Leos Carax et Michel Gondry ; Mother, projeté à Cannes dans la sélection Un Certain regard ; Le Transperceneige, adaptation de la bande dessinée post apocalyptique.

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Réservation possible

En avant-première de sa sortie en salle le 25 janvier 2023 par Les Films du Losange.

Sur un coup de tête, Freddie, 25 ans, retourne pour la première fois en Corée du Sud, où elle est née. La jeune femme se lance avec fougue à la recherche de ses origines dans ce pays qui lui est étranger, faisant basculer sa vie dans des directions nouvelles et inattendues.

Davy Chou est un réalisateur franco-cambodgien, né en 1983. Le Sommeil d’or, documentaire racontant la naissance du cinéma cambodgien dans les années soixante et sa destruction brutale par les Khmers Rouges en 1975, est son premier long- métrage. Son court-métrage Cambodia 2099, qui se déroule entièrement à Diamond Island, à Phnom Penh, est sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs 2014. Sort ensuite, en 2016, son premier long- métrage : Diamond Island. Son nouveau long-métrage, Retour à Séoul est sélectionné au Festival de Cannes - Un Certain Regard en 2022.

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Présenté par Renaud Dehesdin. Réservation possible.

Séance présentée par Renaud Dehesdin, programmateur

Joong-ho, ancien flic devenu proxénète, reprend du service lorsqu’il se rend compte que ses filles disparaissent les unes après les autres. Très vite, il réalise qu’elles avaient toutes rencontré le même client, identifié par les derniers chiffres de son numéro de portable. Joong-ho se lance alors dans une chasse à l’homme, persuadé qu’il peut encore sauver Mi-jin, la dernière victime du tueur.

Na Hong-jin est né en 1974 en Corée du Sud. Après avoir suivi des études en Arts industriels à l’université d’Hanyang, obtenu un diplôme d’Art à l’université nationale de Corée et réalisé deux courts-métrages, le réalisateur met en scène son premier film, The Chaser, en 2008. Il revient ensuite avec The Murderer, un nouveau thriller, et The Strangers, un long-métrage d’horreur, devenant un des metteurs en scène asiatiques les plus salués à l’international.

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Master classe de Vincent Malausa...

Séoul est une ville multiple où l'on passe sans crier gare de l'ultra-modernité à la campagne, de labyrinthes de ruelles à des zones boisées ou montagneuses : le thriller coréen a exploité à merveille la topographie si particulière d'une ville dans laquelle tous les cheminements de la lumière aux ténèbres - sont possibles, de Public Enemy (Kang Woo-suk) aux thrillers de Na Hong-Jin, des chroniques les plus localisées (Breathless) aux films de genre les plus sophistiqués, de Bong Joon-ho ou Park Chan-wook. Nous parcourrons toutes les potentialités d'une ville aux caches - et ressources - inépuisables pour un genre à nul autre pareil. 

Vincent Malausa est critique de cinéma et membre du Comité de rédaction des Cahiers du Cinéma depuis 2001, dont il a coordonné plusieurs suppléments. Il a aussi dirigé la rubrique cinéma du magazine Chronic’art entre 2002 et 2010 et collaboré à deux ouvrages collectifs : Jacques Rozier, le funambule (Editions de l’étoile, 2001) et Politique des zombies, l’Amérique selon George A. Romero (Ellipses, 2007). Il s'est rendu en Corée à la rencontre de Hong Sang-soo ou Bong Joon-ho.

... suivie de la projection de Bitter Sweet Seoul

Collage documentaire réalisé à partir de vidéos envoyées par les internautes, ce film est un hommage à Séoul, mégalopole aux multiples facettes. Hybride, captivant, émouvant, c’est aussi un hymne à la diversité. « Je souhaitais montrer que l’amer et le sucré peuvent coexister dans nos vies. » (Park Chan-wook)

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Présenté par Renaud Dehesdin. Réservation possible.

Séance présentée par Renaud Dehesdin, programmateur

En route pour assister aux funérailles de sa mère, et tandis qu’il est visé par une enquête pour corruption, le commissaire Ko Gun-su renverse accidentellement un homme. Pour se couvrir, il décide de cacher le corps dans le cercueil de sa mère. Lorsque l’affaire est découverte, on nomme son partenaire pour mener l’enquête. Et quand l’unique témoin de l’accident l’appelle pour le faire chanter, Gun-su comprend qu’il n’est pas au bout de ses peines...

Kim Seong-hun est né en 1971. Il réalise son premier long- métrage en 2006, How the Lack of Love Affects Two Men. Après huit ans passés à l’écriture, à la préparation et au tournage de son second long-métrage, il revient avec Hard Day, film présenté à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2014 et qui a suscité des critiques unanimement positives. Il réalise ensuite son troisième long-métrage, Tunnel, ainsi que la série télévisée Kingdom.

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A Séoul, au bord du fleuve Han, les Park tiennent un petit snack qui permet à Hie-bong, le patriarche, de subvenir aux besoins de sa famille : Kang-du, son fils aîné lymphatique, Nam-joo, sa fille championne malheureuse de tir à l'arc, Nam-il, son fils cadet au chômage, et Hyun-seo, l'adorable fille de Kang-du. Leur quiétude est brusquement balayée le jour où un monstre aquatique, fruit de la pollution des eaux, surgit de la rivière et détruit tout sur son passage.

Bong Joon-ho, réalisateur et scénariste coréen, tourne son premier long-métrage, Barking Dog, en 2000. Suivent ensuite : Memories of Murder, qui connait un véritable succès commercial et critique international ; The Host, présenté à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs ; une participation au triptyque Tokyo ! en 2008 dans lequel il offre sa vision de la mégalopole japonaise aux côtés de cinéastes comme Leos Carax et Michel Gondry ; Mother, projeté à Cannes dans la sélection Un Certain regard ; Le Transperceneige, adaptation de la bande dessinée post apocalyptique.

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