Vendredi 8 novembre 2024
- Festival
- • CAUE 75 (Paris)
- • CIN'HOCHE (Bagnolet)
- • CINE MASSY (Massy-Palaiseau)
- • CINEMA JACQUES PREVERT (Les Ulis)
- • CINÉMA LE BIJOU (Noisy-le-Grand)
- • CINÉMA RUTEBEUF (Clichy)
- • CINÉMA UTOPIA (Saint-Ouen-l'Aumône)
- • CINÉPAL' (Palaiseau)
- • CITÉ DE L'ARCHITECTURE (Paris 16) - Entrée libre
- • ENSA BELLEVILLE (Paris 19) - Entrée Libre
- • ENSA LA VILLETTE (Paris 19) - Entrée Libre
- • ENSA MALAQUAIS (Paris 6) - Entrée Libre
- • ENSA VAL DE SEINE (Paris)
- • ENSA VERSAILLES (Versailles) - Entrée Libre
- • ESPACE GERMINAL (Fosses)
- • ESPACE MUNICIPAL JEAN VILAR (Arcueil)
- • L'ARLEQUIN (Paris 6ème)
- • L'ESCURIAL (Paris 13ème)
- • LE LUXY (Ivry-sur-Seine)
- • LE REFLET MEDICIS (Paris 5ème)
- • LE TRIANON (Sceaux)
- • LE VINCENNES
- • LEONARD:PARIS (Paris 12) - Entrée Libre
- • MAISON DE L’ARCHITECTURE (Paris 10) - Entrée Libre
- • MEDIATHÈQUE SIMONE DE BEAUVOIRE (Athis-Mons)
- • PAVILLON DE L'ARSENAL - Entrée libre
- • SALLE MUNICIPALE JEAN VILAR - Arcueil
- • STUDIO DES URSULINES - Entrée libre
- • THEÂTRE CINEMA JACQUES PRÉVERT (Aulnay-sous-Bois)
- • UGC Cyrano (Versailles)
- • UGC ROXANE (Versailles)
- • UNIV PARIS 8 - MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME (St
- Ateliers "Le (mensonge) des trois petits cochons"
- Ciné-conférence "Hors-piste urbain"
- Masteclass Film en chantier “De porte à porte”
- Ciné-conférence "Imaginaires de la marche au cinéma - Balade à travers Paris et le Grand Paris"
- Ciné-conférence "Imagin’AIRES de jeu"
- Ciné-conférence "Hong-Kong vu par l’artiste Pascal Gréco"
- Ciné-conférence "Une ville contre la Silicon Valley"
- Ciné-conférence "Mémoires de nos villes"
- Ciné-conférence "Ségrégation urbaine dans les séries de David Simon"
- Ciné-conférence "B-boys et B-girls au cinéma : revendiquer la ville"
- Ciné-rencontre "Vive le BTP!"
- Ateliers "Nos villes futures"
- Ciné-conférence "Dean Tavoularis : L’architecte du Nouvel Hollywood"
- Filmer [dans] l’architecture
- Mémoires audiovisuelles "Les Ulis"
- Mémoires audiovisuelles "Vincennes"
- Ciné-concert "Le petit Fugitif"
- Ciné-mix "Koyaanisqatsi"
- Séance spéciale "Des murs en images"
- Ciné-Gaming “Le château dans le ciel”
- Ciné-concerts "Burlesque"
- Transfer Architecture Video Award (inédit)
- Masterclass "Films en chantier", en partenariat avec la Revue D'A
- Ciné-conférence "Concevoir avec et pour le cinéma"
- Ciné-Hommage à Paul Chemetov
- TRANSFER Architecture Video Award (inédit)
- "Filmer l'Architecture": Koolhaas Houselife + films ENSA (inédit)
- Architecton (avant-première)
- Basilico - Maître des paysages urbains (inédit)
- Bigger than us
- Brutal Moods
- Ciné-conférence "United Colours of Béton"
- City of darkness
- Douce France
- E.1027 – Eileen Gray et la maison en bord de mer
- Fantastic Mister Fox
- Fotogenico (avant-première)
- Hamilton (inédit)
- HLM, Habitation légèrement modifiée
- Kent
- La terre des vertus (inédit)
- La vie en kit, une aventure architecturale
- Le chant de la terre (inédit)
- Le système Victoria (avant-première)
- Les Feux sauvages (avant-première)
- Les insulaires
- Putty Hill
- Rehab (from Rehab)
- Se souvenir d’une ville (avant-première)
- Skin of glass (inédit)
- Soleil Vert
- Sollers Point
- Style Wars
- Tant que le soleil frappe
- The Neon People (avant-première)
- Toucher terre
- Toxicily
- Urbanistes
- … Et Pierre Jeanneret
14:00 | Ciné-mix "Koyaanisqatsi" – 15:30 |
Conférences / Masterclass / Séances spéciales Jeune Public | CITÉ DE L'ARCHITECTURE (Paris 16) - Entrée libre |
Complet Ciné-mix par Jean-Yves Leloup A mi-chemin entre le documentaire et l'art visuel, Koyaanisqatsi est un point marquant de l'histoire cinématographique des vingt dernières années et a particulièrement influencé toute la nouvelle génération de VJs et d'artistes visuels de la scène électronique. Souvent imité, jamais égalé, ce premier volet de la trilogie réalisée par Godfrey Reggio (Koyaanisqatsi, Powaqatsi, Naqoyqatsi), produit par Francis Ford Coppola, est incontestablement le plus réussi et le plus marquant de la série. Film sans dialogues, décrivant un monde, une planète, entre nature, artifices, technologie et urbanisme, ce long-métrage d'une beauté visuelle à couper le souffle, se veut une forme d'interrogation profondément humaniste sur l'évolution de notre civilisation. Le film est ici mis en musique par le DJ Jean-Yves Leloup qui apporte un nouveau souffle électronique et une nouvelle énergie techno à ce classique d'un cinéma visuel et voyageur, grâce à des titres de Monolake, Trentemøller, Danton Eeprom, Egoexpress, MyMy, Brian Eno, Squarepusher, Chris Watson, etc… Jean-Yves Leloup, DJ, met en musique le film et apporte un nouveau souffle électronique et une nouvelle énergie techno à ce classique d’un cinéma visuel et voyageur, grâce à des titres de Monolake, Trentemøller, Danton Eeprom, Egoexpress, MyMy, Brian Eno, Squarepusher, Chris Watson, etc… |
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14:00 | Skin of glass (inédit) – Denise ZMEKHOL – 16:00 |
Architecture à l'Ecran | ENSA VERSAILLES (Versailles) - Entrée Libre |
Rencontre avec Philippe Rizzotti, architecte Skin of Glass suit le parcours de la réalisatrice après avoir découvert que l’œuvre la plus célèbre de son défunt père en tant qu’architecte, un gratte-ciel moderniste en verre situé au cœur de São Paulo et connu sous le nom de Pele de vidro (« Peau de verre »), est désormais occupé par des centaines de familles sans-abri. Le film mêle le personnel et le politique dans une méditation poétique sur le déplacement, l’inégalité et la perte. À la suite d’une tragédie choquante qui s’est déroulée pendant la production du film, Zmekhol entre en contact avec les habitants du Pele de vidro et se trouve confrontée aux conséquences humaines et intimes de l’explosion démographique et de la crise mondiale du logement. |
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14:00 | Toucher terre – Jérémie BASSET – 16:00 |
Architecture à l'Ecran | ENSA LA VILLETTE (Paris 19) - Entrée Libre |
Rencontre avec Jérémie Basset et d'un.e spécialiste de la terre et de la paille Écologique et disponible sous nos pieds en abondance, la terre crue est un matériau aussi ancien que l’architecture elle-même. A travers plusieurs chantiers en Europe utilisant des techniques différentes, ce documentaire met en lumière toute la richesse de cette ressource et de son histoire. Des experts en archéologie, en science de la matière, en architecture et en technique de construction dévoilent les diverses facettes des édifices en terre, et témoignent des qualités et des possibilités qu’elle offre.
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19:00 | Ciné-conférence "Dean Tavoularis : L’architecte du Nouvel Hollywood" – 20:30 |
Conférences / Masterclass / Séances spéciales | CITÉ DE L'ARCHITECTURE (Paris 16) - Entrée libre |
Ciné-conférence animée par Jordan Mintzer, critique pour le Hollywood Reporter, et Anne Seibel, cheffe décoratrice et directrice du département décor de la Fémis. « Dean Tavoularis a influencé ma vie, mes enfants, ma famille, mes films, mes idées, mes aspirations, mes rêves, mes ambitions, mon héritage. » Francis Ford Coppola Aucun métier du cinéma n’associe autant les compétences d’un architecte à la vision d’un artiste que celui de chef décorateur. Et, dans l’histoire du cinéma américain d’après-guerre, probablement aucun chef décorateur n’a été aussi visionnaire que Dean Tavoularis. Avec une filmographie affichant des classiques tels que Bonne and Clyde, la trilogie du Parrain et Apocalypse Now, Dean Tavoularis a accompagné un changement fondamental dans le cinéma américain : le passage de l’ancien système des studios à ce que l’on appelle le Nouvel Hollywood. Tournant le dos au modèle traditionnel dans lequel les films étaient entièrement fabriqués sur des plateaux, il les a fait sortir, dans des décors réels : rues du Texas pendant la Dépression, dans lesquelles es amants Bonnie et Clyde braquent des banques, immeubles du Lower East Side de New York où le jeune Don Corleone bâtit son empire sanglant, ou encore jungle déchirée par la guerre du Viêt Nam abritant le colonel Kurtz et sa propre armée fanatisée. Né à Los Angeles en 1932, Constantine « Dean » Tavoularis a été élevé dans une famille d’immigrés grecs, et son père livrait du café à la cantine de la 20th Century-Fox. Après un cursus d’art et d’architecture, il est embauché comme animateur chez Walt Disney, puis rejoint le département décor pour la réalisation de 20 000 lieues sous les mers. Enfin, il devient directeur artistique adjoint de Bob Clatworthy, un vétéran du système hollywoodien qui a travaillé avec Hitchcock et Welles. C’est le milieu des années 1960, et le système traverse une crise majeure qui ouvre la voie à une nouvelle vague d’auteurs américains prêts à marquer leur territoire. C’est l’acteur Warren Beatty qui, le premier, engage Tavoularis comme directeur artistique sur Bonnie and Clyde d’Arthur Penn, puis Francis Ford Coppola le choisit pour travailler sur le premier Parrain. Tous deux ont vu en lui un technicien expérimenté, formé par les studios mais désireux de s’affranchir de l’ancien système. Ils ont également vu un artiste tenace et intransigeant, prêt à se battre pour concrétiser leur vision à l’écran, quel que soit le prix à payer ou le sacrifice à consentir. Penn travaille une deuxième fois avec Tavoularis sur Little Big Man, tandis que Coppola noue avec le chef décorateur un lien à la fois créatif et amical qui va durer plusieurs décennies, pour une dizaine d'autres longs métrages, dont Conversation secrète, Coup de cœur et Tucker. D’autres auteurs comme Michelangelo Antonioni et Roman Polanski choisissent Tavoularis pour des films qui exigent son audace – qu’il s’agisse de faire exploser la maquette grandeur nature d’une maison dans Zabriskie Point ou de reconstruire à Paris un appartement de Brooklyn pour Carnage. Autour d’extraits des films les plus célèbres sur lesquels Tavoularis a travaillé, le critique de cinéma Jordan Mintzer et la cheffe décoratrice Anne Seibel (Midnight à Paris) parleront de son œuvre et de son héritage, notamment de l’influence qu’il a exercée sur la génération actuelle. |
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19:00 | Mémoires audiovisuelles "Vincennes" – 21:00 |
Imaginaires du Grand Paris | LE VINCENNES |
Entrée libre Imaginé et conçu par Jean-Yves de Lépinay Commenté par Jean-Yves de Lépinay et Denis Dupont, chercheur indépendant, spécialiste du cinéma et de l’histoire de Vincennes Véritable capitale du cinéma muet dès la fin du 19e siècle (Charles Pathé y avait implanté ses premiers ateliers, puis une usine de production et de développement), Vincennes n’a jamais vraiment quitté les écrans de cinéma et de télévision. Sa voisine, dominante, n’hésite pas à usurper souvent jusqu’à son nom : « bois de Vincennes », « hippodrome de Vincennes », « zoo de Vincennes »… La ville aurait pu disparaître derrière l’impérialisme et le magnétisme cinématographique de Paris : elle a pourtant su fabriquer sa propre image. Visitons ensemble la ville, dans l’espace et dans le temps ! La séance se concluera avec la projection de deux films des premiers temps du cinéma tournés à Vincennes. |
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20:00 | Fotogenico (avant-première) – Marcia ROMANO – Benoît SABATIER – 22:00 |
Panorama | LE REFLET MEDICIS (Paris 5ème) |
Rencontre avec Marcia Romano et Benoit Sabatier Raoul débarque à Marseille où sa fille est morte. Tout ce qu’elle lui avai raconté de sa vie ? Un tissu de mythos. En tentant de recoller les morceaux, il découvre qu’elle avait enregistré un disque avec une bande de filles. Il se met alors en tête de remonter ce groupe, coûte que coûte. Et en slip s’il le faut. |
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20:30 | City of darkness – Soy CHEANG – 23:00 |
Panorama | LE TRIANON (Sceaux) |
Recontre avec Antoine Desrues, critique pour Écran Large et So Film, et progammateur pour le festival WOS Dans les années 80, le seul endroit de Hong Kong où la Loi Britannique ne s’appliquait pas était la redoutable Citadelle de Kowloon, une enclave livrée aux gangs et trafics en tous genres. Fuyant le puissant boss des Triades Mr. Big, le migrant clandestin Chan Lok-kwun se réfugie à Kowloon où il est pris sous la protection de Cyclone, chef de la Citadelle. Avec les autres proscrits de son clan, ils devront faire face à l'invasion du gang de Mr. Big et protéger le refuge qu'est devenue pour eux la cité fortifiée.
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20:30 | Style Wars – Tony SILVER – 22:30 |
Focus Maison de banlieue JNA Focus ville dansée, ville tracée | CIN'HOCHE (Bagnolet) |
Rencontre avec Karim Madani, auteur et spécialiste des cultures urbaines et Renaud Dehesdin, programmateur Style wars est LE film documentaire légendaire qui a su capter la naissance des cultures urbaines, du graffiti, du hip-hop et du breakdance dans les années 80 au coeur de New York. Les souterrains du métro étaient le support d’expression de l’art des plus grands graffeurs de l’époque (Seen, Dondi, Case 2, Skeme…) mais aussi le lieu d’une véritable guerre contre les autorités ! En s’intéressant au travail réalisé dans les souterrains, les rues des quartiers chics, les clubs et les aires de jeu, Style wars est devenu l’emblème de l’esprit, original et contagieux, de l’explosion du hip-hop et du graph. |